Au sein d'une famille ou luxure et surconsommation se côtoyait quotidiennement. Dans une immense villa ou la valeur des meubles n'avait qu'égal les pierres précieuses qui les ornaient, vint au monde une jeune fille. Sa monstruosité longuement masquée par des vêtements riches et des coiffures extravagantes était presque aussi grande que son avarice. Elle fut gâté des ses premiers jours et tout au long de son enfance, au moindre souhait formulé elle obtenais tout ce qu'elle désirais. Jamais elle n'eu a quitté la demeure familiale, trop occupé à mangé et boire.
Peu après sa majorité, son père fonctionnaire fût accusé de fraude et vol. En effet, celui-ci ayant toujours eu peur de manqué d'argent détournais à chaque saison une incalculable quantité d'argent provenant des coffres de la ville et cachais celle-ci dans sa cave a vin. Quand les autorités découvrirent l'arnaque, les parents de Lucille furent exécutés et tous les biens familiaux saisit et revenu au profit de la cité.
Comme un oiseau quittant son nid prématurément, la jeune Lucille fût jetée à la rue sans un sou. Heureusement, un vieux Kardar sénile autrefois ami de la famille la prit sous son aile. C'est ainsi que Loums Kellios invita la jeune Kardar à résidé en son immense tour la ou magie et poussière se mélangeaient. Le vieux Loums étant vieux garçon avait besoin d'un coup de main pour le ménage, classement des parchemins magiques jaunis par les années, préparation de diverses composantes servant au formule magique. En quelques mois, la jeune femme conaissais les bases de la magie sans nécessairement être attiré par celle-ci.
Par une nuit orageuse, la jeune femme fût tourmentée par un rêve étrangement réel. À l'intérieur d'un riche palais en marbre, d'étrange créature festoyais. Plusieurs d'entres elles, cédant a leur pulsions fourniquait dans une sorte de danse quasi macabre. D'autres mangeais, buvait, la qualité du spectacle n'avait d'égale la monstruosité des créatures s'y trouvant. Sur un trône un peu à l'écart se tenait une femme Image même de la perfection corporelle féminine, un sourire satisfait aux lèvres.
D'un bond elle se réveilla, une ombre se tenait près de la fenêtre. La créature, mi-femme mi-démon, Succube communément appelés était d'une beauté déconcertante toutefois moindre que celle dans son rêve. D'une voix mielleuse la créature murmura en sa direction :
Rejoint nous.
Puis dans l'obscurité elle disparu laissant seulement deux livres sur sa table de nuit en guise de signature : Fyal'Nashä La Voluptueuse, traité de nécromancie.
Les semaines passèrent, elle dévora Fyal'Nashä La Voluptueuse en quelques jours. Elle se reconnaissait à travers cette femme, se surprenant même à rêvé pouvoir festoyer à ses cotés. Puis elle lût traité de nécromancie, son savoir grandissait. Elle refusait d’avouer a son mentor son nouveau passe-temps, préférant s'adonné a ses expériences arcan niques lorsque celui-ci quittais la demeure. Les pages vieillit et collé du livre indiquait que celui-ci n'avait guère été ouvert. Un chapitre traitant de résurrection attira particulièrement son attention. D'après ce livre, il était possible de réinsérer la vie à l'intérieur d'un corps inerte. Quoi qu'intéressant le livre ne donnait guère de détail sur la façon d'opéré le sortilège mais plutôt des avertissements plutôt inquiétant.
« Or, les œuvres de la chair sont manifestes, ce sont l’impudicité, l’impureté, la dissolution, l’idolâtrie, la magie, les inimitiés, les querelles, les jalousies, les animosités, les disputes, les divisions, les sectes,l’envie, l’ivrognerie, les excès de table, et les choses semblables. Je vous dis d’avance, comme je l’ai déjà dit, que ceux qui commettent de telles choses n’hériteront point le royaume des bons. »
<<Qu’on ne trouve chez toi personne qui fasse passer son fils ou sa fille par le feu, personne qui exerce le métier de devin, d’astrologue, d’augure, de magicien, d’enchanteur, personne qui consulte ceux qui évoquent les esprits ou disent la bonne aventure, personne qui interroge les morts. Car quiconque fait ces choses est en abomination à l’Éternel ; et c’est à cause de ces abominations qu'Odéonl, ton Dieu, va chasser ces nations devant toi. >>
Ce dernier passage attira particulièrement son attention. Ces Nations ? Parlait t'il de se peuple déchu refoulé au plus profond des entrailles de Teilia. Les mortanyss ou ses amas de chaire, d'os. Peut-être ce peuple déchu saurait t'il assouvir sa soif de curiosité ou même ramené ses défunts parents à la vie ?
[ La suite bientot]