* Vardok fit la rencontre d'un étrange spectre,
qui traversa la porte de la partie privée de la C.A., comme si rien n'était...
C'te patente lo semblo fouiller dans les coffres,
ou du moins tenter de voir l'interieur de ces derniers... Il fit tomber un coffre par terre, et sembla bien décidé à trouver ce qu'il cherchait...
Vardok le suivi en bas, il brisa plusieurs fioles, faisant tomber plein de choses sur les tables par terre, accrochant tout sur son passage,
cherchant visiblement quelque chose de précieusement important...
Soudain, Vardok vu l'homme aveugle, Rectord Dumas, qui frappa 3 coups par terre et s'adressa au Spectre...
cela sembla calmer ce dernier, du moins pour le moment...
Il tenta de lui poser des questions, mais la seule qui eu finalement une réponse,
fut son nom : Tirdak
Rectord Dumas, me demanda le chemin de la bibliothèque,
et on alla s'informer à Lindi, pour tenter de ramasser des détails sur ce Tirdak...
Tout ce que l'on a réussi à trouver, fut qu'il était mort dans un incendie,
il y a 250 ans, et que son corps n'avait jamais été retrouvé, dans les décombres de son atelier.
À ses paroles, le spectre sorti de la bibliothèque; nous le suivimes;
il se rendit à la petite marre juste aux abords de la sortie Ouest de laville,
fixant le fond de celle-ci... *
Je me dévêtis, sortant ma pioche, et descendit lentement au fond de la marre...
après quelques coups de pioches judicieusement placés,
je découvris un squelette sous la vase, au bord d'un des côtés...
Je le remontai, le déposant aux abords de la marre, et Rectord Dumas libéra le spectre, de la même manière que Baduk le mentionne...
Un courant d'air se fit ressentir sifflant visiblement "Merci"
L'homme dit en fin : « Plus que 8 et ma mission serions accomplie, je retrouverai ma vie. »
il mentionna :
- qu'il devions porter son fardeau seul...
- ine force obscure les tiens prisonnier ici
- la même force qui l'avions rendu ainsi; in homme épouvantable
* À ses mots, Vardok vit qu'une force étrange sembla avoir frappé le vieil homme à la poitrine *
je lui demandai : « ce parsonnage... tions vivant ? mort? démon ?
le viellard, regardant autour de lui, répondit : « il tions...je..je ne sais rien »
je lui répondit : « D'accord, je comprenions »
tions bin visible qu'il ne pouvions même po penser à en parler plus clairement...